30 septembre Autochtones / Métis La Journée de la vérité et réconciliation et celle du chandail orange En cette journée nationale de la vérité et de la réconciliation, l'eau vive se penche sur l'impact du symbole du chandail orange et...
Nyenimana remporte Nouvelle scène 2021 Après son triomphe à Nouvelle Scène, Nyenimana représentera la Saskatchewan au prestigieux concours Chant'Ouest l’année...
Cinq conseils pour prendre de belles photos des feuilles d’automne Partagez vos plus belles photos de l’automne avec nous ! Envoyez-nous vos meilleurs clichés à redaction@leau-vive.ca.
George Stamos présente son nouveau solo en exclusivité à Regina En tournée dans l’Ouest canadien, George Stamos métamorphose la nuit.
Comment les pâturages secs ont découragés les éleveurs Les cultures de la Saskatchewan ont souffert du manque d’eau durant presque toute la saison agricole 2021. Les éleveurs fransaskois...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer