2 juin Littérature Les ÉNP, une fenêtre ouverte sur le monde littéraire de l’Ouest et du Nord Les ÉNP offrent aux Fransaskois des romans, des recueils de poèmes et d’autres ouvrages en tous genres depuis 1984.
La Saint-Jean délaissée par les Fransaskois Un nouvel ouvrage explique comment les Franco-Canadiens vivent les fêtes nationales, à l’instar de la Saint-Jean-Baptiste.
La vitalité mémorielle abordée par Bibliothèque et Archives Canada Après des recherche sur 68 communautés, Bibliothèque et Archives Canada révèle que les notions de mémoire et de patrimoine tombent...
Un nouveau format pour le Parlement franco-canadien du Nord et de l’Ouest Devrait-on rendre le don du sang obligatoire ? Des jeunes francophones de l’Ouest canadien se sont réunis afin de débattre cette...
FDÉFO: un financement tremplin pour la fransaskoisie Le programme du Fonds de développement économique francophone de l'Ouest (FDÉFO) a retenu quatorze projets dans l’Ouest canadien cette...
2 février 2018 Laurent Desrosiers 27684 2018, Histoire et patrimoine, Les timbrés Le Concorde, une merveille aéronautique Les Timbrés Notre dernière chronique mentionnait que la France et l’Angleterre avaient coopéré pour créer deux merveilles des temps modernes : le tunnel sous la Manche et le Concorde. Le Concorde était un aéronef extraordinaire. Son nom, « Concorde », signifie harmonie ou union. Il a été choisi pour souligner que la France et la Grande-Bretagne ont coopéré à 100 % pour produire ce chef-d’œuvre. Pour réaliser un tel avion, l’harmonie entre ces deux nations était essentielle. Elles en ont produit 20, y compris 6 prototypes. Il a trouvé sa place d’honneur sur plusieurs timbres. Qu’avait-il de spécial ? Sa vitesse de croisière était de Mach 2,02, soit 2,02 fois la vitesse du son. Il a été le seul avion commercial équipé de commandes de vol électriques analogiques. Deux des facteurs qui ont entraîné son retrait après 27 ans de service sont sa consommation très considérable de carburant et son boom sonique qui fracassait des fenêtres des édifices qu’il survolait. Seuls les gens les plus affluents pouvaient voyager sur le Concorde. En 1997, un billet de New York à Londres coûtait 7 995 $, soit 30 fois le prix d’un billet en classe touriste sur un avion ordinaire. Ce qui explique un taux de remplissage de seulement 20 %. Dans son livre Flying Concord, un pilote explique qu’il a décollé de Karachi à destination d’Athènes (direction ouest) peu après le lever du soleil. La vitesse du Concorde était telle que les passagers ont vu le soleil se coucher à l’est. D’Athènes vers Londres (direction nord-ouest), ils ont vu un deuxième lever de soleil. N’oublions pas que le Concorde parcourait en une heure plus de 15o du globe terrestre. Vous souvenez-vous de cette fois où le Concorde a atterri à Regina ? Je crois que c’était en 2003. La descente des passagers était impossible parce que les passerelles pour quitter l’avion ne pouvaient pas atteindre la porte du Concorde à cause de sa hauteur. On a dû utiliser un élévateur de fortune. L'ancienne Union soviétique est le seul autre pays à avoir développer un avion supersonique: le Tupolev TU-144. Il a été retiré après moins de deux ans de service. Partager Imprimer