Cité universitaire francophone 20 mai 2021 Discrimination et intimidation : « L’inaction n’est plus une option ! »
18 mai Politique Une réforme de la loi 101 qui tend la main aux communautés francophones Le ministre du Québec responsable de la langue française a déposé jeudi devant l’Assemblée nationale du Québec le projet de...
Une nouvelle direction générale pour la CAFS Mireille Bizimana est devenue le 27 avril la nouvelle directrice générale de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS)....
« Le Plateau des Prairies », la grande scène portative de l’AJF L’Association jeunesse fransaskoise s’est dotée début mai d’une grande scène portative unique en son genre en Saskatchewan.
Le renard véloce retrouve ses prairies Le plus petit renard d’Amérique du Nord, de la taille d’un gros chat, est un pur habitant des prairies.
Le montage de mouches, un passe-temps à découvrir Les moucheurs cherchent des poissons de plus en plus gros et veulent les attraper avec une mouche qu’ils ont fabriquée eux-mêmes.
2 février 2018 Laurent Desrosiers 27684 2018, Histoire et patrimoine, Les timbrés Le Concorde, une merveille aéronautique Les Timbrés Notre dernière chronique mentionnait que la France et l’Angleterre avaient coopéré pour créer deux merveilles des temps modernes : le tunnel sous la Manche et le Concorde. Le Concorde était un aéronef extraordinaire. Son nom, « Concorde », signifie harmonie ou union. Il a été choisi pour souligner que la France et la Grande-Bretagne ont coopéré à 100 % pour produire ce chef-d’œuvre. Pour réaliser un tel avion, l’harmonie entre ces deux nations était essentielle. Elles en ont produit 20, y compris 6 prototypes. Il a trouvé sa place d’honneur sur plusieurs timbres. Qu’avait-il de spécial ? Sa vitesse de croisière était de Mach 2,02, soit 2,02 fois la vitesse du son. Il a été le seul avion commercial équipé de commandes de vol électriques analogiques. Deux des facteurs qui ont entraîné son retrait après 27 ans de service sont sa consommation très considérable de carburant et son boom sonique qui fracassait des fenêtres des édifices qu’il survolait. Seuls les gens les plus affluents pouvaient voyager sur le Concorde. En 1997, un billet de New York à Londres coûtait 7 995 $, soit 30 fois le prix d’un billet en classe touriste sur un avion ordinaire. Ce qui explique un taux de remplissage de seulement 20 %. Dans son livre Flying Concord, un pilote explique qu’il a décollé de Karachi à destination d’Athènes (direction ouest) peu après le lever du soleil. La vitesse du Concorde était telle que les passagers ont vu le soleil se coucher à l’est. D’Athènes vers Londres (direction nord-ouest), ils ont vu un deuxième lever de soleil. N’oublions pas que le Concorde parcourait en une heure plus de 15o du globe terrestre. Vous souvenez-vous de cette fois où le Concorde a atterri à Regina ? Je crois que c’était en 2003. La descente des passagers était impossible parce que les passerelles pour quitter l’avion ne pouvaient pas atteindre la porte du Concorde à cause de sa hauteur. On a dû utiliser un élévateur de fortune. L'ancienne Union soviétique est le seul autre pays à avoir développer un avion supersonique: le Tupolev TU-144. Il a été retiré après moins de deux ans de service. Partager Imprimer