19 avril Santé L’immunité collective, un bras à la fois Armées de vaccins, les infirmières fransaskoises participent elles aussi à la lutte contre la COVID-19.
Trois destinations pour (re)prendre contact avec la nature Les Canadiens ont attendu le printemps avec une plus grande impatience que d’habitude. Trois destinations pour en profiter.
Nature et civilisation sous le pinceau de Diana Ntibandetse Le Conseil culturel fransaskois (CCF) a offert un atelier de peinture avec Diana Ntibandetse avec le Musée d’art MacKenzie à Regina
Numériser la vie fransaskoise, une page à la fois Le Centre des archives fransaskoises de la Société historique de la Saskatchewan (SHS), a officiellement lancé son projet de numérisation de...
Une Journée d’accueil du nouvel arrivant virtuelle Le volonté d’accueillir est célébrée chaque année par la Journée d’accueil du nouvel arrivant (JANA) en Saskatchewan.
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5079 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer