19 mars Santé Aider et se faire aider Du 15 au 20 mars, la Saskatchewan célèbre la Semaine des personnes aidantes. L’occasion pour la Fédération provinciale des Fransaskoises...
Les élévateurs à grains mis à l'honneur à Prud'homme Le musée multiculturel Providence de Prud'homme offre une exposition sur les élévateurs à grains de la province.
La fabrication de cabanes à oiseaux donne le sourire aux enfants de Moose Jaw et Gravelbourg La Communauté francophone accueillante Moose Jaw et Gravelbourg a offert un atelier sur la fabrication de cabanes à oiseaux
Coupe des startups : les entrepreneurs fransaskois sur le devant de la scène Quatre startups participantes à la finale régionale des Prairies de la Coupe des startups étaient fondées par des Fransaskois.
Un quiz inédit sur l’Afrique francophone Des Fransaskois ont tenté leur chance au Quiz spécial Afrique francophone organisé par la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS)
18 juin 2019 FAJEF 19998 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer