4 mars Arts visuels Olivier Gentillon, un pionnier noir en Saskatchewan Le 22 février, le portrait du docteur Olivier Gentillon, conçu par l’artiste visuel Xavier Mutshipayi, a été dévoilé.
La rivière Churchill et la rivière Frenchman: deux rivières qui font rêver La rivière Churchill et la rivière Frenchman sont deux rivières qui font rêver, mais il faut attendre l'été pour les explorer en canot ou...
Réflexions sur l’ère pré-internet Maintenant que l’internet et les réseaux sociaux sont des incontournables, on se demande comment pouvait bien circuler l’information...
Les jeunes invités à entrer dans l’Atelier de Joe Fafard Le Conseil culturel fransaskois (CCF) lance un guide pédagogique destiné aux élèves en écoles francophones et d’immersion.
L’empathie culturelle, un nouveau réflexe à adopter Le Consortium national de formation en santé veut comprendre les influences culturelles de la communications en santé.
18 juin 2019 FAJEF 20013 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer