1 février En quelques mots Le temps qui passe… Depuis le début de l’humanité, on observe le temps, et on continue de le ressentir durant la pandémie et après.
Rivière Saskatchewan: un des plus grand cours d'eau du pays est menacé Connaissons-nous bien la rivière Saskatchewan, l’une des plus grandes du Canada, et les menaces qui pèsent sur elle?
Gâteau aux Fruits Discussion sur le dessert le plus malmené et mal-aimé de toute l’histoire: le gâteau aux fruits.
Loi sur les langues officielles: la ministre Joly étire la sauce Mélanie Joly, n’a toujours pas clarifié le moment du dépôt d’un projet de modernisation de la Loi sur les langues...
La campagne de désinformation de géants du Web Google a fait parvenir à l’ensemble des députés fédéraux une lettre trompeuse dans le cadre d’une dispendieuse campagne de...
18 juin 2019 FAJEF 20027 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer