21 janvier Théâtre La vie après le hockey : une pièce de théâtre réconfortante La Troupe du Jour a lancé sa saison 2020-2021 en décembre avec la pièce La vie après le hockey, une traduction par Michel Garneau de la...
Erin O’Toole tente de prendre ses distances avec l’aile droite du PCC Le chef conservateur Erin O’Toole a expulsé le député de Hastings—Lennox et Addington, Derek Sloan, du caucus du Parti...
Insécurité linguistique dans la fonction publique fédérale Quarante-quatre pour cent des francophones seraient mal à l’aise d’utiliser le français au travail, révèle un sondage du Commissariat...
En français, les pronoms neutres et inclusifs tardent à s’implanter dans la... Quand iel doit se tourner vers l’anglais La langue anglaise permet aux personnes non-binaires d’utiliser un terme parapluie pour définir leur identité: they/them. En français,...
Entretien avec Janie Moyen et Ahdithya Visweswaran Amplifier la voix des francophones en milieu minoritaire avec un balado Le nouveau balado Les Francos oublié.e.s est né de l’amitié entre deux francophones canadiens. Janie Moyen et Ahdithya Visweswaran...
18 juin 2019 FAJEF 20027 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer