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16 février Aventure et plein air L’agence Docastaway offre l’expérience d’un naufragé sur une île déserte blues L’agence Docastaway offre deux types d’expérience, une nommée Confort et l’autre Aventure. Cette dernière se compare à une...
Deux billets de 20 dollars, deux visions des États-Unis L'administration Biden envisage de remplacer Andrew Jackson sur les billets de 20 dollars par Harriet Tubman.
Le CCF lance un projet de production vidéo pour les jeunes Lle Conseil culturel fransaskois lance un projet créatif de persévérance chez les jeunes s’articulant autour de la production...
Google sommé de rémunérer les journaux dont il profite Alors que Google France vient de signer un accord historique avec la presse française, ses pairs canadiens aspirent eux aussi à obtenir leur part...
Des soirées de lecture aux familles et francophones La Communauté francophone accueillante (CFA) de Moose Jaw et Gravelbourg a offert une soirée de lecture aux familles francophones.
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30344 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer