1 février En quelques mots Le temps qui passe… Depuis le début de l’humanité, on observe le temps, et on continue de le ressentir durant la pandémie et après.
Rivière Saskatchewan: un des plus grand cours d'eau du pays est menacé Connaissons-nous bien la rivière Saskatchewan, l’une des plus grandes du Canada, et les menaces qui pèsent sur elle?
Gâteau aux Fruits Discussion sur le dessert le plus malmené et mal-aimé de toute l’histoire: le gâteau aux fruits.
Loi sur les langues officielles: la ministre Joly étire la sauce Mélanie Joly, n’a toujours pas clarifié le moment du dépôt d’un projet de modernisation de la Loi sur les langues...
La campagne de désinformation de géants du Web Google a fait parvenir à l’ensemble des députés fédéraux une lettre trompeuse dans le cadre d’une dispendieuse campagne de...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8632 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer