29 novembre CCF - culturel.fransaskois.net Des artistes visuels fransaskois trouvent leur écho Quatre artistes fransaskois, quatre méthodes de création et un thème commun. Voici ce que l'exposition ÉCHOS offre au public dans le cadre du...
Atelier offert dans le cadre du Rendez-vous fransaskois des régions 2020 Cyberintimidation : les directions d’organisme s’outillent Tout comme la pandémie qui rend les personnes malades, l’intimidation sur les plateformes numériques contamine plusieurs organismes...
FPF: Fin de semaine entre femmes Les Fransaskoises se sont regroupées pour une fin de semaine de ressourcement. L’occasion de parler féminisme, acceptation corporelle et...
Un sondage est en ligne pour la communauté fransaskoise Quelle consommation les Fransaskois font-ils des médias ? Le jeune chercheur Trevor Grey lance un sondage auprès de la population francophone de la Saskatchewan afin d’étudier le lien entre...
Quand Joe inspire Zoé En partenariat avec le Conseil culturel fransaskois (CCF), le musée d’art Mackenzie de Regina a présenté le 15 novembre un premier atelier...
18 juin 2019 FAJEF 20044 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer