Immigration 3 novembre 2020 Immigration francophone : passer des demi-mesures à une véritable stratégie
1 novembre Postsecondaire Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale? La ministre Mélanie Joly invite le gouvernement de l’Alberta à annuler sa décision de couper le financement du campus Saint-Jean...
Un Festival Cinergie sur petit écran Pour sa 15e édition, le Festival international du film francophone Cinergie a dû s’adapter à la situation exceptionnelle de la pandémie....
Visite au jardin de Rita Villeneuve On récolte ce que l'on sème Rita Villeneuve est une Fransaskoise pleine d’énergie qui loue depuis 3 ans un jardin maraîcher à Spruce Home, au nord de Prince Albert....
Les attentes de la communauté fransaskoise à l’égard du nouveau gouvernement Après la victoire écrasante du Parti saskatchewanais aux élections provinciales, des intervenants de la communauté fransaskoise souhaitent...
Entrer par la grande porte au Musée d'art MacKenzie REGINA - Au cours de l’automne, le Musée d’art MacKenzie de Regina offre une toute nouvelle programmation dans les deux langues...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8671 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer