3 septembre Gravelbourg Gravelbourg, la pépite francophone des Prairies canadiennes FRANCOPRESSE – Gravelbourg possède une histoire étonnante et plus grande que nature, qui commence au début du XXe siècle avec...
Cuba : une catastrophe humanitaire au nom de la démocratie Ce n'est pas la Covid-19 qui est à l'origine de la crise dans laquelle Cuba est plongée. Plusieurs mois avant les fermetures de frontières...
À 150 kilomètres au-dessus de nos têtes Étoiles filantes, comète Neowise, le ciel s'est donné en spectacle.
Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone La récente victoire du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSFCB) en Cour suprême laisse présager une possible expansion de...
Le lac Chaplin, une destination unique pour observer les oiseaux Si vous recherchez une destination de fin d’été axée sur la nature, le lac Chaplin offre un environnement unique, important, mais peu connu.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8671 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer