Tabou No More - Réflexions sur la santé mentale 7 août 2020 Un vrai selfie : une invitation aux jeunes
7 août Cinéma Zinder, à l’aune des oubliés Un Fransaskois filme la dure réalité de sa ville natale au Niger Le Fransaskois d’adoption et réalisateur Ousmane Ilbo a dévoilé le 6 août un documentaire poignant intitulé Zinder, à l’aune des...
Consultation sur les espaces scolaires et communautaires de Regina Quelle forme les espaces scolaires et communautaires prendront-ils dans les années à venir ? C’est la question qu’a posée...
Éemi (re)fait chanter les abeilles L’artiste fransaskoise Émilie Lebel, alias éemi, a mis à profit son confinement en collaborant avec le musicien Lévi Soulodre, lui aussi de...
Santé en français : écarts entre obligations légales et offre active Dans une étude rendue publique en juin 2020, les chercheurs de l'Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques espèrent...
Sénat : Des attentes élevées chez les francophones de l’Ouest Avec 3 sièges vacants pour l'Ouest au Sénat du Canada, l’Assemblée communautaire fransaskoise réitère une demande exprimée depuis...
18 juin 2019 FAJEF 20072 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer