24 août Musique Ateliers en ligne de Malika Sellami L’écriture de chanson, entre douceur et connexion L’artiste fransaskoise Malika Sellami a organisé un atelier d’écriture de chanson le 13 août avec la collaboration du Carré de la...
La famille Pasche parcourt le monde à vélo Les Prairies séduisent une famille de nomades Céline et Xavier Pasche, originaires de la Suisse, parcourent le monde à vélo. Ils ont offert une conférence à St-Denis en collaboration avec...
Champêtre County s'adapte à la pandémie SAINT-DENIS - Près du village fransaskois de Saint-Denis, se trouve l’entreprise familiale Champêtre County, un lieu mythique de...
Beyrouth : une explosion à l'ampleur de ses malheurs Deux Saskatchewanais issus de la diaspora libanaise joignent leurs voix à la vague d’indignation qui a secoué le monde entier après la...
Janie Moyen, habitée par la flamme fransaskoise Janie Moyen, récemment diplômée de l’École canadienne-française de Saskatoon, est la seule Fransaskoise à avoir reçu la bourse...
18 juin 2019 FAJEF 20072 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer