4 octobre Francophonie Décès de Jean Malavoy, un bâtisseur franco-ontarien Jean Malavoy, un administrateur qui a longtemps oeuvré dans le mouvement associatif et culturel franco-ontarien est décédé samedi.
Contes bleus à encre économe d'Ian C. Nelson Un recueil de micronouvelles qui explorent la nature humaine Sous la plume de l’auteur Ian C. Nelson, peu de mots peuvent révéler un monde complexe.
Journées du patrimoine: Éclosion virtuelle pour le lys des Prairies L'équipe de la Société historique de la Saskatchewan a organisé une édition bien spéciale des Journées du patrimoine. C'est...
L’ACFR calme le jeu lors de son AGA REGINA - Agitée par plusieurs tempêtes durant les cinq dernières années, l’Association canadienne-française de Regina a voulu démontrer lors...
AGA de l'Association communautaire fransaskoise de Moose Jaw MOOSE JAW - L'Assemblée générale annuelle de l'Association communautaire francophone de Moose Jaw, tenue le 15 septembre à l'école...
18 juin 2019 FAJEF 20064 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer