9 octobre Politique Il y a 25 ans, le référendum qui a creusé un fossé entre les francophones du Canada Le référendum sur l’indépendance du Québec de 1995 n’a pas fait que diviser les Québécois. Déjà éloignés l’un de l’autre,...
Publication d'un rapport de l'AFFC sur les priorités des femmes de la... Les femmes, gardiennes de la langue française en milieu minoritaire L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne vient de lancer son rapport final suite à une enquête pancanadienne sur les priorités...
Entrevue avec Annamie Paul, nouvelle cheffe du Parti vert Francopresse a pu aborder, avec la nouvelle cheffe des verts, de nombreuses thématiques dont le revenu minimum garanti, la place du Parti vert sur...
Élection provinciale : une fransaskoisie divisée Selon le sociologue fransaskois Wilfrid Denis, les enjeux varient selon la situation géographique - Nord ou Sud, rurale ou urbaine - et...
Entretien-avec-Michael-Akinpelu L’identité de la jeunesse fransaskoise vue par un sociolinguiste Comment la jeunesse fransaskoise maintient-elle son héritage linguistique et culturel? C’est la question à laquelle Michael Akinpelu,...
18 juin 2019 FAJEF 20064 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer