15 octobre Musique Voies musicales remplace Chan'Ouest Donner une voie aux artistes de l’Ouest En cette période de pandémie, le célèbre concours et spectacle Chant’Ouest n’est plus, mais une nouvelle formation professionnelle...
Chantal Bissonnette-Castonguay: La résilience en marche Chantal Bissonnette-Castonguay a appris, à l'âge de 32 ans, qu'elle était atteinte d'une forme rare de cancer du sein. Malgré tout,...
Environnement: Une médaille de la honte pour la Saskatchewan Voilà une médaille dont la Saskatchewan se serait bien passée : celle de la plus grande émettrice de gaz à effet de serre par habitant du...
Droit au but avec Chantal Boudreau Elles ne sont pas nombreuses dans le monde à parcourir les pelouses des stades, donner des cartons rouges et autres coups de sifflet. Chantal...
Dollard Grenier et son altruisme couronnés par le Lys d’argent BELLEVUE - Vitalité 55+ Saskatchewan a salué l’implication de Dollard Grenier de Bellevue, un bénévole aussi volontaire que modeste.
18 juin 2019 FAJEF 20044 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer