Communication 1 juillet 2020 L’Eau vive consacré meilleur journal de la francophonie canadienne en 2020
29 juin Juridique Les Fransaskois applaudissent la victoire des parents franco-colombiens en Cour suprême Après 10 ans de lutte judiciaire, la Cour suprême du Canada a tranché en faveur des parents franco-colombiens. Cette décision historique a été...
Emmanuel Masson a joint l'équipe de bénévoles de Bernie Sanders Un Fransaskois dans le tourbillon des élections américaines Emmanuel Masson a participé à la course folle de la campagne des primaires démocrates aux États-Unis sous la bannière du candidat Bernie Sanders....
Spectacle de Ponteix pour la Saint-Jean devant un stationnement à Regina Les spectacles drive-in, nouvelle formule en temps de pandémie? REGINA - L’Association canadienne-française de Regina a fêté la Saint-Jean-Baptiste sous une nouvelle formule, consacrant la première...
Décès d'Henri Loiselle, le fermier chantant La voix chaude du baryton fransaskois Henri Loiselle ne résonnera plus que dans les souvenirs des nombreuses personnes qui ont eu le plaisir...
Ces artistes autochtones qui voulaient changer le monde Ils étaient sept artistes autochtones qui demandaient que leur travail soit reconnu à juste titre. À l’occasion de la Journée nationale des...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5165 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer