14 mai La vie des élèves Le téléenseignement, une forme de théâtre expérientiel pour Colette George Je me sens un peu plus animée durant mes leçons virtuelles. C'est comme si j'étais une comédienne dans une pièce de théâtre.
Franco-club : apprendre le français tout en s’amusant Offert gratuitement par la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina, le Franco-club a permis à une dizaine de participants...
Un trajet de cinq mois pour Marie-Ève Rousseau Du Canada au Mexique à pied : « Le plus grand défi de ma vie » Marie-Ève Rousseau, une enseignante d’une école franco-albertaine, suivra au mois de juillet le Chemin des crêtes du Pacifique, un sentier...
L'environnement au coeur d'un livre jeunesse des Éditions de la Nouvelle plume Artémis vole au secours de la planète Dans son roman pour enfant, Artémis vole au secours de la planète, la Saskatchewanaise Ingrid Alesich nous invite à comprendre pourquoi notre...
Les médias présents pour leurs communautés malgré la crise Après une première phase d’adaptation à la nouvelle réalité du confinement, radios et journaux travaillent d’arrache-pied pour...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8716 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer