20 février Francophonie Causerie avec Donald Sirois: Entre amour du français et assimilation SASKATOON - Dans le cadre du projet Résot’âges de la Cité universitaire francophone et de la Fédération des ainés fransaskois, le retraité...
Dur, dur, la démocratie Au Canada, nous avons la chance d’avoir un premier ministre qui n’a pas fait reculer les mesures de protection environnementale de 20...
Débats au sommet pour les jeunes de l’Ouest Six jeunes de l'École canadienne-française de Saskatoon ont participé à au grand concours du Sommet des débats au Campus Saint-Jean à Edmonton.
Le début d’une aventure européenne pour Ponteix Fin janvier 2020, le trio est parti à la rencontre du public français pour tester les eaux du marché outre-Atlantique.
Le vapotage, nouveau péril jeune? Dans les messages postés sur Instagram, les publications flatteuses sur le vapotage se comptent par milliers. Premières cibles : les...
6 janvier 2015 Jean-Pierre Picard (EV) 31012 2015, Société, Guerre et enjeux militaires L'Holodomor commémoré à Regina Cette statue dans le Parc Wascana de Regina est une réplique de l’œuvre de Petro Drozdovskyi exposée à l’entrée du Musée national de l'Holodomor à Kiev en Ukraine.Elle commémore le génocide de plusieurs millions d'Ukrainiens affamés en 1932-33 par les politiques de Joseph Staline. Photo: Martine Noël Maw Si vous vous baladez dans le Parc Wascana près du parlement, à Regina, vous constaterez la présence d’une nouvelle statue représentant une jeune fille, le regard hagard, tenant une gerbe de blé entre ses mains. Il s’agit d’une réplique de l’œuvre de Petro Drozdovskyi exposée à l’entrée du Musée national de l'Holodomor à Kiev en Ukraine. Il existe une autre réplique de cette statue au Musée canadien pour les droits de la personne à Winnipeg. C’est pour souligner les 80 ans de l’Holodomor (terme ukrainien signifiant extermination par la faim), que le Congrès des Ukrainiens-canadiens a financé l’achat de cette reproduction. L’Holodomor est un épisode tragique de l’histoire ukrainienne au cours duquel entre 2,5 et 7 millions de personnes sont mortes de faim en 1932-33. En avril 2008, la Douma de l'État russe a reconnu le régime stalinien comme principal responsable de cette famine avec sa politique de collectivisation forcée de la production agricole et l’anéantissement des petits propriétaires agricoles. Alors que l’Ukraine enterrait ses morts, l’Union soviétique exportait plus de 3 millions de tonnes de blé à l’étranger. C’est également en 2008 que la Saskatchewan, dont 13% de la population a des racines ukrainiennes, devenait la première province canadienne à reconnaître ce génocide. Le gouvernement provincial a décrété que le quatrième samedi du mois de novembre serait la Journée de commémoration de la famine et du génocide ukrainiens. Le dévoilement officiel de la statue aura lieu au cours du printemps 2015. Partager Imprimer