25 janvier Santé Une infirmière-chercheuse à la rencontre des Fransaskois Léonie Mvumbi Mambu, mène une recherche sur les besoins en soins à domicile dans les communautés fransaskoises.
Une formation offerte par l'Association des parents fransaskois Pour une gouvernance plus efficace et transparente Comment décider, collaborer, agir et contribuer au sein d’un conseil d’administration? Telles sont les questions auxquelles...
Le RIF-SK fait le point Vers un bilan de 10 années d’immigration D’ici quelques mois, un rapport sera produit pour dresser le portrait de l’immigration francophone dans la province de cette dernière...
Un nouveau programme de financement administré par la FCCF PassepART rapproche les jeunes de l'art et la culture PassepART, le programme de microfinancement fédéral administré par la Fédération culturelle canadienne-française (FCCF), permettra à plusieurs...
Tenue du Parlement jeunesse national à Ottawa Des jeunes Fransaskois au cœur du Sénat Le Parlement jeunesse pancanadien (PJP) a réuni du 8 au 12 janvier à Ottawa plus d’une centaine de jeunes francophones venus des quatre...
7 décembre 2017 Laurent Desrosiers 31116 2017, Société, Histoire et patrimoine, Les timbrés Le centenaire de l’explosion d’Halifax Le timbre commémoratif de l'explosion d'Halifax. C’était le 6 décembre 1917. Les carnages de la guerre 1914-1918 tiraient à leur fin. Ce jour-là, une autre sorte de carnage s’est produit, cette fois loin des champs de bataille européens, en Amérique du Nord, précisément à Halifax. Halifax était une ville d’environ 50 000 de population. Avant la guerre, elle souffrait des effets de la grande Dépression et de la chute de l’économie mondiale. Avec la déclaration de la guerre, elle est devenue une fourmilière d’activité. Le port de mer était le centre de toute cette effervescence. On expédiait vers l’Angleterre et l’Europe des millions de tonnes d’armes et de munitions, de blé, d’aliments de toutes sortes, et tout le nécessaire pour soutenir la guerre. Or, un accident se produisit dans le port. Une collision. Une collision entre deux navires, le Mont Blanc, chargé d’explosifs et le Imo. Pourquoi? Erreur humaine? Manque de manœuvrabilité d’un ou l’autre navire? Étroitesse du chenail d’accès au bassin du port pour ces deux navires gigantesques ? Un peu de tout, sans doute. Des flammèches produites par le bris de ferraille causèrent un incendie de produits très inflammables à bord du Mont Blanc. Un immense nuage de fumée noire attirait les curieux de la ville quand l’explosion se produisit, l’explosion la plus puissante créée par l’homme avant l’explosion atomique d’Hiroshima, en 1945. Les ondes de choc et le tsunami frappèrent Richmond, ce quartier d’Halifax où se trouvaient écoles, hôpitaux, églises, usines et résidences. La déflagration laissa près de 2 000 morts et plus de 9 000 estropiés. Richmond fut complètement rasé. Le choc fit éclater des fenêtres à Truro, 100 km plus loin. Le timbre pour commémorer cette tragédie a été émis le 8 novembre, soit un mois avant son centenaire. Les artistes du timbre ont combiné des illustrations du port d’Halifax et la page couverture du journal Halifax Herald au lendemain de l’explosion. C’est un timbre carré de 32 mm x 32 mm de valeur permanente. Postes Canada a imprimé en 4 couleurs 140 000 livrets de 10 timbres chacun. Partager Imprimer