10 janvier Communautaire Revue fransaskoise de l'année 2019 Survol de l'actualité de la communauté fransaskoise en 2019.
Les francophones de Prince Albert se sont rassemblés pour Noël Visitez la galerie de photos des activités de Noël organisées par la Société canadienne-française de Prince Albert et du spectacle Ma...
Le fléché, symbole de chez nous Une ceinture lourde d’histoire Spécialiste incontournable du fléché, Yvette Michelin l’enseigne aux adultes et donne des ateliers aux enfants. Et si c’était sa façon...
Entre la ferme familiale et les mégaexploitations Guy Bouchard possédait déjà une exploitation agricole quand il a choisi de reprendre la ferme de ses beaux-parents afin d’augmenter...
L’apport des immigrants ne peut que grandir Le phénomène de l’immigration n’est pas nouveau. Ce qui est relativement nouveau, c’est la course aux immigrants qui ont des...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5228 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer