Réjean Paulin 19 novembre 2019 Une francophonie en déclin? Pas sûr. Deux visions de la Francophonie se côtoient. L’une évoque l’avenir d’un Québec en évolution à côté des minorités en perdition. L’autre croit toujours en la force d’un français épanoui partout au Canada.
18 novembre Cinéma Soirée cinéma-causerie au Royal Saskatchewan Museum REGINA - Dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, l’Association canadienne-française de Regina a organisé...
Les artistes visuels francophones de l'Ouest sous-représentés à l’étranger ? Les artistes visuels francophones de l’Ouest canadien manquent-ils de visibilité et de place dans les événements internationaux?
Jacque Poulin-Denis : Une course à contre-courant REGINA - Le chorégraphe et scénographe fransaskois Jacques Poulin-Denis était de passage en Saskatchewan pour présenter sa nouvelle œuvre Running...
Ces jeunes qui changent le monde Changer le monde pour le sauver est un énorme défi. Il y a urgence. Et puisque « les fils repus du XXe siècle » ne bougent...
La co-cathédrale de Gravelbourg célébrée Cent bougies pour Notre-Dame-de-l’Assomption GRAVELBOURG - Un sentiment de nostalgie et de fierté était palpable à Gravelbourg les samedi 2 et dimanche 3 novembre. La co-cathédrale...
10 septembre 2015 Émilie Dessureault-Paquette (EV) 22632 2015, Société, Bénévolat À la paroisse St-Jean-Baptiste, la foi mobilise les volontaires À Regina, les habitués de la messe se proposent souvent pour aider. Photo: Archives de l'Eau vive (2014) REGINA - Au sein de la seule église francophone de Regina, pas besoin de battre le rappel pour faire participer les paroissiens aux diverses activités organisées. Le bénévolat semble aller de paire avec les paroissiens assistant à la messe du dimanche. En tout cas, c’est le constat à la paroisse St-Jean-Baptiste. Chaque croyant semble engagé d’une façon ou d’une autre dans les activités. Rosalie Umuhoza, membre de la communauté, témoigne : « Il y a plusieurs formes de bénévolat. On peut par exemple servir à la cérémonie. De mon côté, je déplace les gens qui n’ont pas de voitures et qui veulent aller à l’église », explique-t-elle, comme si elle prenait conscience de son implication. « Personnellement je m’investis parce que je suis croyante. Aider les autres fait partie de mes convictions religieuses et de mes plaisirs. J’aide parce ce que j’ai déjà obtenu de l’aide de la paroisse. L’église m’a soutenue. Elle m’a équipée lorsque je n’avais rien », détaille Rosalie Umuhoza. Dans les activités à venir, l’église prévoit le traditionnel souper paroissial vers le début du mois d’octobre. Une date à officialiser, en attendant justement de confirmer la liste des bénévoles. « Il n’y a généralement pas de problème pour obtenir l’aide des uns et des autres. Les volontaires sont engagés au sein de la paroisse. Ils sont là au moins le dimanche pour aider, d’une quelconque façon. Il s’agit aussi bien d’anciens membres que de nouveaux arrivants. Ce souper constitue un rendez-vous important pour nous. C’est un moment de partage avec les plus démunis et pour se faire connaître des autres paroisses du diocèse », indique Yvette Ibenda, assistante paroissiale, sans cacher pour autant l’intérêt d’un tel événement pour renflouer les caisses. « En tant qu’immigrant, en tant que chrétien, et en tant qu’être humain, on a besoin de s’entraider », conclut Rosalie Umuhoza. Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer