3 novembre Immigration Vidéos "Ce que j'apporte ici" À l'occasion des Rendez-vous de la Francophonie, en mars 2019, Radio-Canada, le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK)...
Réjean Paulin École et descendance française : Les francophones doivent-ils se satisfaire du minimum?
Portraits d'étudiants francophones en santé issus de l'immigration Dans le cadre de la Semaine nationale de l'immigration francophone, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan présente deux portraits...
Immigration francophone: un nouveau rapport suscite des réactions REGINA - Le rapport Reconnaître le secteur informel - L’accueil des immigrants francophones en Saskatchewan par les immigrants...
La Saskatchewan sauvée d’une invasion de zombies MOOSE JAW - Une vingtaine de francophones ont échappé aux terribles zombies de Moose Jaw. Ces braves coureurs participaient à la 4e course Humains...
Bilan de l’année pour la Fédération des francophones de Saskatoon SASKATOON - Lors de son assemblée générale annuelle, le 24 octobre 2019, la Fédération des francophones de Saskatoon a dévoilé sa nouvelle...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30516 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer