3 novembre Immigration Vidéos "Ce que j'apporte ici" À l'occasion des Rendez-vous de la Francophonie, en mars 2019, Radio-Canada, le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK)...
Réjean Paulin École et descendance française : Les francophones doivent-ils se satisfaire du minimum?
Portraits d'étudiants francophones en santé issus de l'immigration Dans le cadre de la Semaine nationale de l'immigration francophone, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan présente deux portraits...
Immigration francophone: un nouveau rapport suscite des réactions REGINA - Le rapport Reconnaître le secteur informel - L’accueil des immigrants francophones en Saskatchewan par les immigrants...
La Saskatchewan sauvée d’une invasion de zombies MOOSE JAW - Une vingtaine de francophones ont échappé aux terribles zombies de Moose Jaw. Ces braves coureurs participaient à la 4e course Humains...
Bilan de l’année pour la Fédération des francophones de Saskatoon SASKATOON - Lors de son assemblée générale annuelle, le 24 octobre 2019, la Fédération des francophones de Saskatoon a dévoilé sa nouvelle...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16578 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer