Tabou No More - Réflexions sur la santé mentale 27 septembre 2019 Lumière sur les troubles anxieux : entretien avec Shawn Jobin
26 septembre Histoire et patrimoine La traite des fourrures et l'exploration des Prairies Toujours plus à l'ouest La Société historique de la Saskatchewan nous invite à découvrir l'Ouest du temps des voyageurs.
Forte participation à l'AGA de l'association jeunesse fransaskoise Les jeunes répondent à l'appel de l'AJF MANITOU BEACH - Un conseil d’administration renouvelé, des formations d’animateur et une belle ambiance. Ce 15 septembre, les jeunes...
Sur les traces des francophones d’Amérique Entretien avec l'historien Yves Frenette Le professeur Yves Frenette de l’Université de Saint-Boniface à Winnipeg dirigera durant les sept prochaines années un projet de recherche...
Les services de santé en français auscultés au Forum santé SASKATOON - Les 13 et 14 septembre, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan a tenu son forum annuel au Hilton Garden Inn, à Saskatoon. La...
Cédric Delavaud et son orgue de barbarie Une boîte à musique empreinte d’histoires Cédric Delavaud est propriétaire d'un orgue de barbarie depuis près d'un an. Il affectionne l'instrument qu'il a acheté lors de...
18 juin 2019 FAJEF 20259 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer