24 août Coup d'oeil sur le monde L'Inde au-delà de l'actualité Quand on pense Inde, on pense 1,3 milliard d'habitants, nationalisme hindou, tensions au Cachemire, misère des bidonvilles. Mais l'Inde...
2e édition de la Journée du patrimoine de Gravelbourg L’histoire ouvre ses portes à Gravelbourg GRAVELBOURG - Le 9 août dernier, les sites historiques de Gravelbourg ont ouvert leurs portes à l’occasion de la journée du patrimoine...
L’exploration sous-marine du Titanic OceanGate Expeditions, basée à Everett, Washington, lance une expérience touristique unique : une exploration en sous-marin de l’épave...
Rencontre avec Naila Yoh, bénévole Dans les coulisses du Festival du film de Régina REGINA - Naila Yoh, coordonnatrice bénévole, 18 ans, travaille à l'organisation du festival depuis le mois de mai à l'organisation du...
Sophie Ferré nouvelle présidente par intérim À l'aube de ses 30 ans : l’AJEFS, plus pertinente que jamais L’Association des juristes d’expression française de la Saskatchewan va bientôt souffler trente bougies. Au même moment, elle...
18 juin 2019 FAJEF 20259 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer