17 juillet Musique Les Colocs étaient en vedette au Festival fransaskois 2019 Rencontre avec le Coloc Mike Sawatzky à Saskatoon SASKATOON - L’édition 2019 du Festival fransaskois a accueilli la formation québécoise Les Colocs. L'Eau vive a voulu se pencher sur...
Remise des prix Expo-science 2019 Quand les jeunes s’investissent pour la science ! REGINA - Le 20 juin dernier, à l’école Monseigneur de Laval de Regina, on a pu assister à un spectacle de chansons, de danses concocté par...
Terry Gaudet et Michel Forest honorés par la Saskatchewan High Schools... Deux enseignants reconnus pour leur engagement sportif Terry Gaudet et Michel Forest, enseignants respectivement à l’École St-Isidore à Bellevue et à l’École Mathieu de Gravelbourg, ont...
Les francophones à l’avant scène de la Fête du Canada à Regina REGINA - Le décor a été planté devant l’Assemblée législative, au parc Wascana, où de nombreuses activités francophones ont été au cœur...
La Saint-Jean-Baptiste fêtée en Saskatchewan La Saint-Jean a battu son plein dans plusieurs communautés de la province. Plusieurs centaines de Fransaskois ont célébré avec convivialité la...
18 juin 2019 FAJEF 20258 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer