23 août Histoire et patrimoine 2e édition de la Journée du patrimoine de Gravelbourg L’histoire ouvre ses portes à Gravelbourg GRAVELBOURG - Le 9 août dernier, les sites historiques de Gravelbourg ont ouvert leurs portes à l’occasion de la journée du patrimoine...
Rencontre avec Naila Yoh, bénévole Dans les coulisses du Festival du film de Régina REGINA - Naila Yoh, coordonnatrice bénévole, 18 ans, travaille à l'organisation du festival depuis le mois de mai à l'organisation du...
Sophie Ferré nouvelle présidente par intérim À l'aube de ses 30 ans : l’AJEFS, plus pertinente que jamais L’Association des juristes d’expression française de la Saskatchewan va bientôt souffler trente bougies. Au même moment, elle...
40 ans de dévouement Pavillon francophone au Folkfest de Saskatoon C'est sous le thème Discover Memories que le Folkfest de Saskatoon a rythmé la ville du 15 au 17 août. Un thème qui vient souligner les 40...
Bison buté Parmi les destinations phares de notre province : le parc national de Prince Albert est garant d’un dépaysement total. Prologue parfait...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30531 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer