21 juillet Postsecondaire Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan SASKATOON - Sur près de 1 200 professeurs à l’Université de la Saskatchewan, on compte une vingtaine de francophones. L'Eau...
Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon Née à Saskatoon, Amélie a effectué tout son parcours scolaire à l’École canadienne-française, depuis la garderie jusqu’à la 12e année....
Explorez la rivière Saskatchewan Sud Le terme Saskatchewan vient du mot cri « Kisiskatchewani Sipi. » ou, autrement dit, ‘rivière qui coule...
Les Éditions de la nouvelle plume étaient bien présentes au Festival fransaskois Un nouveau slogan et un nouveau recueil pour la Nouvelle plume Les Éditions de la nouvelle plume ont présenté le tome 6 du recueil Théâtre fransaskois ainsi qu'un nouveau slogan en marge du Festival...
Les Colocs étaient en vedette au Festival fransaskois 2019 Rencontre avec le Coloc Mike Sawatzky à Saskatoon SASKATOON - L’édition 2019 du Festival fransaskois a accueilli la formation québécoise Les Colocs. L'Eau vive a voulu se pencher sur...
13 septembre 2017 Pierre-Émile Claveau 35854 2017, CÉF - Conseil des écoles fransaskoises, Éducation, Écoles fransaskoises, Petite enfance Les services de prématernelle fransaskois seront facturés Aide financière disponible pour les familles à faible revenu Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a décidé de maintenir sa décision de facturer la prématernelle à la suite de la séance extraordinaire par audioconférence du 2 septembre dernier. Le président par intérim, Martin Prince, avait convoqué une séance extraordinaire afin d’avoir une franche discussion sur la question avant la rentrée scolaire, en présence de tous les conseillers. Certains élus ont fait part de leurs inquiétudes tandis que d’autres ont déclaré avoir eu, une rétroaction positive concernant la facturation de la prématernelle. Les frais pourraient s’élever à 80,88 $ par enfant par mois. Lors de la séance régulière du 31 mai dernier, le CÉF avait indiqué qu’il souhaitait obtenir un revenu de 158 000 $ à l’aide de la facturation en 2017-2018 et que la somme serait réinvestie dans l’animation culturelle, l’éducation à distance et la conciergerie. En séance régulière, le 8 septembre dernier, le CSF a décidé d’obtenir un avis juridique sur la légalité de la facturation des services de la prématernelle. De plus, les élus ont adopté une résolution afin que la somme recueillie soit investie uniquement dans les activités culturelles liées à la francisation. Monsieur Barry a soumis une proposition afin de revenir sur la décision du CSF d’imposer des frais à la prématernelle. Il a mis de l’avant que les conseillers n’avaient pas toutes les informations nécessaires lors de la décision et que le surplus budgétaire anticipé de l’année 2016-2017 pourrait couvrir les frais selon lui. Sa proposition n’a pu être adoptée, le vote s’étant soldé par une égalité de trois contre trois. La conseillère de Prince Albert, Geneviève Binette, était absente lors du vote. Un formulaire d’aide financière est mis à la disposition des familles qui seraient dans l’impossibilité de payer les frais. Rappelons que le 31 mai dernier, Martin Prince avait mandaté l’administration de trouver une solution pour les familles n’ayant pas les moyens de payer les frais. En date du 2 septembre, cinq formulaires ont déjà été envoyés et ils ont tous été approuvés. Les demandes proviennent des grands-centres. Certains conseillers scolaires du sud de la province craignent la compétition en milieu rural et que l’imposition de frais mensuels ait un impact négatif sur les inscriptions dans leur région. La conseillère de Gravelbourg, Maria Lepage, a mentionné que la prématernelle était gratuite dans une autre école. Par ailleurs, le pavillon élémentaire de l’École Monseigneur de Laval compte désormais cinq classes de prématernelle, une première dans l’histoire de l’établissement. En raison d’une hausse importante d’inscriptions à la rentrée, le personnel a dû réaménager les salles de classe. La bibliothèque a été déplacée au deuxième étage de l’édifice au cours de l’été. Partager Imprimer