21 juillet Postsecondaire Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan SASKATOON - Sur près de 1 200 professeurs à l’Université de la Saskatchewan, on compte une vingtaine de francophones. L'Eau...
Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon Née à Saskatoon, Amélie a effectué tout son parcours scolaire à l’École canadienne-française, depuis la garderie jusqu’à la 12e année....
Explorez la rivière Saskatchewan Sud Le terme Saskatchewan vient du mot cri « Kisiskatchewani Sipi. » ou, autrement dit, ‘rivière qui coule...
Les Éditions de la nouvelle plume étaient bien présentes au Festival fransaskois Un nouveau slogan et un nouveau recueil pour la Nouvelle plume Les Éditions de la nouvelle plume ont présenté le tome 6 du recueil Théâtre fransaskois ainsi qu'un nouveau slogan en marge du Festival...
Les Colocs étaient en vedette au Festival fransaskois 2019 Rencontre avec le Coloc Mike Sawatzky à Saskatoon SASKATOON - L’édition 2019 du Festival fransaskois a accueilli la formation québécoise Les Colocs. L'Eau vive a voulu se pencher sur...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8826 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer