11 juin Communication L'aide fédérale pour les radios et journaux se fait attendre Après avoir exercé des pressions soutenues pendant deux ans pour obtenir une aide critique aux médias frappés par la chute de revenus, les...
Pavillon francophone à Mosaic : une réussite dans la diversité REGINA - Du jeudi 30 mai au samedi 1er juin le pavillon francophone du Festival Mosaic de Regina a accueilli quelque...
La Troupe du Jour présente sa prochaine saison SASKATOON - La prochaine saison de La Troupe du Jour accordera la priorité aux talents des auteurs et artistes de la Saskatchewan. Il y aura...
La Franco-Manitobaine Dominique Rey de passage au Remai Modern SASKATOON - Dominique Rey est la première artiste francophone de l’Ouest à exposer au Remai Modern depuis son ouverture en octobre 2017.
Symposium Esperanza du collectif Sans atelier Des balados et des panels pour construire et rassembler SASKATOON - Du 30 mai au 1er juin se tenait à Saskatoon le Symposium Esperanza composé de deux principales activités : les balados, en...
17 décembre 2014 Jean-Pierre Picard (EV) 37674 2014, AJF - Association jeunesse fransaskoise, Société, Jeunesse Le Parlement jeunesse fransaskois de l’AJF: Une expérience qui laisse sa marque Lundi matin. Dans quelques minutes le local de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) grouillera d’élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon qui profitent de l’heure du dîner pour venir faire un tour. Le fait d’être logé dans la partie « communautaire » de l’école offre à l’AJF une occasion de proximité avec une partie de sa clientèle. À travers tout ce va et vient, son personnel s’affaire à clore le dossier du 19e Parlement jeunesse fransaskois (PJF) qui a regroupé une soixantaine de jeunes au parlement provincial à Regina la semaine dernière. Parmi ceux-ci on retrouvait 42 élèves d’écoles fransaskoises et 19 provenant du programme d’immersion. Au delà d’un exercice d’initiation au système parlementaire, le directeur général de l’AJF, Julien Gaudet, voit dans le PJF une occasion de développer un véritable esprit d’équipe. Ce sont les participants, sélectionnés selon une lettre de motivation de 250 mots, qui élaborent le contenu du PJF. « L’apprentissage du processus est encore plus important que les débats eux-mêmes » affirme monsieur Gaudet. Il a lui-même participé à plusieurs éditions du PJF et garde un excellent souvenir de l’expérience. Les organisateurs tentent d’avoir un mélange d’enjeux controversés et de sujets plus légers. Cette année, les projets de loi allaient de la peine de mort à la pose des pneus d’hiver obligatoire. Une année précédente, la question de l’avortement avait soulevé des passions alors qu’un projet de loi sur l’obligation pour chaque foyer d’avoir au moins deux poules avait donné lieu à des échanges plutôt loufoques. La motivation pour participer au PJF varie d’un jeune à l’autre. Certains ont un véritable intérêt pour l’aspect politique alors que d’autres apprécient surtout le côté social de l’activité. Mais quelle que soit la raison d’y participer, le PJF laisse sa marque. Roxanne Denis, enseignante à Vonda, a participé à 5 PJF alors qu’elle était étudiante. Cette année, elle donnait un atelier aux participants. Fait intéressant à noter, dans la foulée du resserrement des mesures de sécurité, le parlement de la Saskatchewan est le seul au pays qui ouvre encore ses portes à ce genre d’activité. Monsieur Gaudet a souligné l’importante collaboration de Dan D’autremont, le président de l’Assemblée législative, pour la tenue de l’événement. Balises PJF Partager Imprimer