Réjean Paulin 26 février 2019 Parlons de francophobie « Francophobie ». Voilà que ce mot nauséabond réapparait dans le vocabulaire courant. Il plane sur tout le Canada. Le Nouveau-Brunswick est gouverné par un gouvernement minoritaire à la merci d’un parti hostile aux francophones.
25 février Regina Remaniement du CA de l'ACFR François-Regis Kabahizi a été nommé président de l'Association canadienne-française de Regina, suite à la démission de Sylvie...
Faux pas : apéritif avant le premier album de Ponteix REGINA - Mario Lepage et sa formation Ponteix, lançait le 25 janvier dernier une nouvelle composition originale intitulée Faux Pas....
Gens d'ici Richard Speath : une relation familiale avec des Afro-Canadiens Pour ce mois de célébration de l'histoire des Noirs, j’ai rencontré un Fransaskois dont la vie a été profondément marquée par sa...
Si les immigrants s’en mêlaient… Les minorités visibles dans la fonction publique fédérale : perceptions et réalités Angélique Ruzindana Umunyana a souvent été questionnée sur l’accès des immigrants aux emplois dans la fonction publique fédérale. Elle...
Le chanteur ne rencontre pas tous les critères d'admission Kaya Free ne pourra pas aller à Granby REGINA - Le Festival international de la chanson de Granby se voit forcé de refuser la candidature de Kaya Free.
12 décembre 2019 Ousmane Ilbo Mahamane (Initiative de journalisme local - APF) 34929 Initiavive de journalisme local - APF, 2019, ACFG - Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg, CAFS - Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan, Communautaire, Gravelbourg Une première soirée multiculturelle réussie à Gravelbourg GRAVELBOURG - La ville de Gravelbourg, en partenariat avec l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG) et la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS), a célébré le multiculturalisme lors de la soirée du vendredi 29 novembre au centre culturel Maillard. Robert Bowler, le maire de la ville, a rappelé dans un discours que cette célébration était la concrétisation d’un rêve du père Gravel, fondateur de Gravelbourg qu’il voyait comme la capitale francophone de l’Ouest canadien. À l’époque, les communautés environnantes se composaient d’Anglais, d’Allemands et de Français. Dans les années 1930, la sécheresse qui sévit dans la région provoqua un exode rural massif de la population vers d’autres provinces. De multiples origines Dès les années 1970, le visage des Gravelbourgeois commence à se diversifier. Trois familles vietnamiennes se sont d’abord installées, toujours présentes. Puis la bourgade reçoit diverses communautés du monde : de l’Ukraine, du Mexique, de l’Inde, des Philippines, de l’Écosse, de l’Irlande, de la Hollande, de la Corée, de l’Australie de la France et de plusieurs pays d’Afrique comme la Côte d’Ivoire, le Niger, la République Démocratique du Congo, le Burundi, le Bénin, le Congo, la Mauritanie et l’île Maurice. Pour Maria Lepage, présidente de l’ACFG, « l’organisation de cette soirée multiculturelle est importante pour la ville de Gravelbourg pour célébrer l’amitié et la solidarité entre les communautés ». Lors de la soirée, les convives ont eu la chance de déguster des plats de divers horizons et d’assister à un spectacle de danse de la culture burundaise. Regroupées au sein de la formation artistique et culturelle Inyange, des jeunes Burundaises de Regina ont présenté les danses folkloriques de leur pays d’origine pour célébrer la paix, la fraternité et la cohésion sociale. Des danses qui, dans la tradition, célèbrent aussi les jeunes mariés. Marie Lepage s’est dite comblée du déroulement de l’évènement : « Lorsque la ville de Gravelbourg et la CAFS nous ont approchés, c’était pour faire quelque chose de différent et nous avons réussi », se félicite-t-elle. La soirée multiculturelle sera de retour dans le calendrier 2020 de la ville. Partager Imprimer Liens à visiter Initiative de journalisme local (APF) L'Association de la presse francophone (APF) fait partie des sept organisations mandatées par le Gouvernement du Canada pour mettre sur pied l'IJL. Ce projet a pour but d'offrir de la couverture journalistique dans les régions mal desservies du pays ou à propos des enjeux locaux qui ne sont pas couverts par les médias.