18 février Mon métier, ma passion Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en...
L’impact de l’engagement communautaire concerté Le Heritage Festival de Saskatoon, qui s’est tenu le dimanche 3 février 2019 au Western Development Museum de Saskatoon, a permis...
Débuts de l'histoire des Noirs au Canada La première personne noire arrivée au Canada était un Africain nommé Mathieu de Coste. Il arrive en 1608.
Le Festival du Voyageur fête ses 50 ans Les Franco-Manitobains célèbrent le 50e anniversaire du Festival du Voyageur. Celui-ci est considéré comme le plus important festival...
L'ancien directeur de l'APF inquiet des manipulations démocratiques Après deux ans à la direction de l’Association des parents fransaskois (APF), Carol-Guillaume Gagné a remis sa démission au début de...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8848 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer