20 janvier Société Vœux de 2019 ici et ailleurs: Le déclin du populisme et la débandade de Trump L’Ontario demeure sous le choc des coupes du gouvernement Ford, et qui laissent présager une autre année difficile pour les minorités....
Régime sans sel L’hiver arrive et arrive avec lui le bal des saleuses. Inlassablement, des hommes et femmes arpentent chaque jour les routes pour faire...
Le ruban de la cassette : projet novateur d’Anique Granger Le ruban de la cassette prend d’abord la forme d’un podcast, qui nous permet de suivre le développement d’une chanson. Un album...
2019 : Année internationale des langues autochtones L’année 2019 a été proclamée l’Année internationale des langues autochtones par l’Assemblée générale des Nations Unies.
Quand la vérité tue Dans le bilan annuel de Reporter sans frontières (RSF), l’année 2018 a été particulièrement meurtrière avec 80 journalistes tués dans...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30607 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer