1 janvier Santé Les nouvelles technologies ont-elles raison de votre cou ? La maladie du texto Avec près de 5 milliards de détenteurs de téléphones portables et un temps de navigation quotidien estimé à 6 heures, vous n’êtes...
Un nageur met fin à sa traversée de l’océan pacifique Benoît Lecomte ne traversera pas l’océan Pacifique à la nage. Le Français de 51 ans tentait de nager entre le Japon et les États-Unis. Son...
L’équilibre de son bien-être Nous y sommes arrivés. C’est le mois de décembre ! Impossible de ne pas être influencé, soit de façon positive ou négative, par le...
Ne pas se faire passer un sapin Il faut garder un sapin de Noël artificiel pendant au moins 20 ans afin d’assurer qu’il ait moins d’impact écologique...
Christian Fure : directeur le jour, chercheur le soir PRINCE ALBERT - Christian Fure est un nouvel employé de la Société canadienne-française de Prince Albert. Il est détenteur d’une...
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 25201 2015, Société, Bénévolat Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Éric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon Photos : Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités. Le pavillon francophone du Folkfest de Saskatoon, ce sont en moyenne 5 500 à 6 000 visiteurs en trois jours. Après la Fête fransaskoise, il constitue l’évènement communautaire le plus « consommateur » de bénévoles. Lors de l’édition 2015, Eric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS), organisateur principal du pavillon, n’a pas caché que « la mobilisation des bénévoles avait été un énorme défi cette année ». Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer