Santé 30 août 2018 Aînés francophones : manque de soins, absence de services en français… mais bonne santé mentale
30 août Musique Deux Fransaskoises à Jamais trop tôt Genève Fafard, de Ste Marthe, et Joëlle Lapierre, de Saskatoon, ont participé au volet Jamais trop tôt du Festival international de la chanson de...
Réseau des villes francophones et francophiles d’Amérique La francophonie des Amériques se donne rendez-vous à Grande Prairie Du 5 au 7 septembre, Grande Prairie, en Alberta, accueillera le rendez-vous du Réseau des villes francophones et francophiles d’Amérique.Au...
Le parc national de Wood Buffalo en déclin Un rapport du gouvernement canadien, publié pendant l’été 2018, fait état d’une triste situation dans le parc national de Wood Buffalo...
23e Conférence ministérielle sur la francophonie canadienne Le Plan, le Plan, le Plan Le Plan sur les langues officielles 2018-2023 a monopolisé la 23e Conférence ministérielle sur la francophonie canadienne.
23e Conférence ministérielle sur la francophonie canadienne Le mémoire du commissaire Le commissaire aux langues officielles du Canada, Raymond Théberge, déposera son propre mémoire sur la modernisation de la Loi sur les langues...
21 août 2019 Estelle Bonetto 31055 2019, AJEFS - Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan, Société, Juridique À l'aube de ses 30 ans : l’AJEFS, plus pertinente que jamais Sophie Ferré nouvelle présidente par intérim Me Sophie Ferré Photo : Facebook L’Association des juristes d’expression française de la Saskatchewan (AJEFS) va bientôt souffler trente bougies. Au même moment, elle s’offre une cure de jeunesse avec l’arrivée de Sophie Ferré, nouvelle présidente par intérim à la barre de l’organisme. L’AJEFS n’en est pas à ses premières armes. Œuvrant au sein de la communauté fransaskoise depuis près de trois décennies, elle travaille d’arrache-pied pour permettre aux citoyens de langue française de la province d’avoir accès à des services juridiques dans leur langue. Et le téléphone ne dérougit pas. « Nous recevons beaucoup de demandes, surtout dans les domaines du droit en immigration, droit de la famille et droit criminel », précise la nouvelle présidente par intérim de l’organisme, Sophie Ferré. Maintenir le cap Mme Ferré se réjouit de pouvoir apporter sa contribution à l’AJEFS. « Je suis moi-même avocate et Fransaskoise, je suis très fière de m’impliquer dans la communauté francophone dans un domaine qui tombe parfaitement dans mes intérêts. » La présidente par intérim entend continuer sur la lancée de l’organisme, qu’elle qualifie d’excellente, et ainsi poursuivre les efforts déployés pour augmenter l’accès aux services juridiques en langue française. « Le fait de contribuer à répondre aux besoins de la population me donne beaucoup de satisfaction, c’est cela qui me motive le plus. » Partie pour rester Si un vent de renouveau semble souffler sur l’AJEFS, c’est plutôt que l’association a dû et su évoluer avec son temps et son environnement. « Notamment avec l’immigration, nous constatons que de plus en plus de personnes ont besoin de services, car ils rencontrent des défis au niveau de la compréhension de l’anglais », affirme la nouvelle responsable. Pour rester dans l’air du temps, des ateliers ont également été offerts quant à la nouvelle législation sur le cannabis. Des services d’information aux cliniques juridiques, en passant par la formation au public et au corps professionnel, l’AJEFS est au four et au moulin. L’organisme entreprend constamment une gamme complète d’initiatives pour une clientèle dont les besoins sont aussi variés que nombreux. De nouveaux partenariats Au fil des ans, l’association a su tisser de nombreux partenariats pour parvenir à ses fins. Ainsi, une nouvelle entente avec l’Université de la Saskatchewan et l’Université d’Ottawa permet désormais d’offrir un certificat de common law en français. La promotion des carrières en justice est bel et bien l’une des priorités de l’AJEFS : « Les partenariats sont essentiels au déploiement de nos programmes et de nos services, nous en avons quelque 75, que ce soit au niveau de la province, du gouvernement fédéral ou de la communauté », relate Mme Ferré. La justice fait partie intégrante de la vie citoyenne et l’accès à des services en français se fera de plus en plus pressant et pertinent pour une population qui se réclame du droit de se faire servir dans la langue de Tremblay. Partager Imprimer Liens à visiter Section du Portail fransaskois consacrée à l'Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan