12 avril Courrier du lecteur Mychèle Fortin quitte la barre de l'Eau vive L’aventure... On ne peut qu’être abasourdis par la qualité et la quantité du travail que Mychèle a abattu depuis qu’elle s’est retrouvée à la...
Un stage en nutrition en Saskatchewan : témoignage Finissante du baccalauréat en sciences de la nutrition de l’Université d’Ottawa, j’ai eu la chance de réaliser un stage de trois...
Dominique Sarny quitte l'Assemblée communautaire fransaskoise REGINA - Dominique Sarny, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), a remis sa démission le 9 avril.
1 000 personnes dans les rues de 3 communautés Les Tintamarres fransaskois Trois communautés de la province, Moose Jaw, Prince Albert et Gravelbourg, ont organisé des Tintamarres le 20 mars 2018. Au total, ce sont près de...
La Cité universitaire francophone « s’autochtonise » Depuis sa fondation en 2005, le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) de l’Université de Regina...
17 décembre 2014 Jean-Pierre Picard (EV) 37701 2014, AJF - Association jeunesse fransaskoise, Société, Jeunesse Le Parlement jeunesse fransaskois de l’AJF: Une expérience qui laisse sa marque Lundi matin. Dans quelques minutes le local de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) grouillera d’élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon qui profitent de l’heure du dîner pour venir faire un tour. Le fait d’être logé dans la partie « communautaire » de l’école offre à l’AJF une occasion de proximité avec une partie de sa clientèle. À travers tout ce va et vient, son personnel s’affaire à clore le dossier du 19e Parlement jeunesse fransaskois (PJF) qui a regroupé une soixantaine de jeunes au parlement provincial à Regina la semaine dernière. Parmi ceux-ci on retrouvait 42 élèves d’écoles fransaskoises et 19 provenant du programme d’immersion. Au delà d’un exercice d’initiation au système parlementaire, le directeur général de l’AJF, Julien Gaudet, voit dans le PJF une occasion de développer un véritable esprit d’équipe. Ce sont les participants, sélectionnés selon une lettre de motivation de 250 mots, qui élaborent le contenu du PJF. « L’apprentissage du processus est encore plus important que les débats eux-mêmes » affirme monsieur Gaudet. Il a lui-même participé à plusieurs éditions du PJF et garde un excellent souvenir de l’expérience. Les organisateurs tentent d’avoir un mélange d’enjeux controversés et de sujets plus légers. Cette année, les projets de loi allaient de la peine de mort à la pose des pneus d’hiver obligatoire. Une année précédente, la question de l’avortement avait soulevé des passions alors qu’un projet de loi sur l’obligation pour chaque foyer d’avoir au moins deux poules avait donné lieu à des échanges plutôt loufoques. La motivation pour participer au PJF varie d’un jeune à l’autre. Certains ont un véritable intérêt pour l’aspect politique alors que d’autres apprécient surtout le côté social de l’activité. Mais quelle que soit la raison d’y participer, le PJF laisse sa marque. Roxanne Denis, enseignante à Vonda, a participé à 5 PJF alors qu’elle était étudiante. Cette année, elle donnait un atelier aux participants. Fait intéressant à noter, dans la foulée du resserrement des mesures de sécurité, le parlement de la Saskatchewan est le seul au pays qui ouvre encore ses portes à ce genre d’activité. Monsieur Gaudet a souligné l’importante collaboration de Dan D’autremont, le président de l’Assemblée législative, pour la tenue de l’événement. Balises PJF Partager Imprimer