1 février Politique Médias : un appui à la transition numérique dans le budget 2018 Le gouvernement fédéral a annoncé une aide pour l'industrie de l'information pour le prochain budget.
La Commission indépendante rejette une centaine de bulletins de vote à Saskatoon Roger Gauthier, président de l’ACF Roger Gauthier a été déclaré élu à la présidence de l'Assemblée communautaire fransaskoise, le 4 janvier dernier à la suite du scrutin du...
Beaumont, Saskatoon et La Broquerie Le dynamisme unique de communautés de l’Ouest expliqué Les provinces de l’Ouest étaient les seules à afficher des taux de croissance supérieurs à la moyenne nationale, selon le recensement de...
Cinq nouvelles œuvres d’art à la collection permanente du CCF Le Conseil culturel fransaskois (CCF), en partenariat avec le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS), a proposé aux artistes...
18 juin 2019 FAJEF 20184 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer