Communautaire 12 décembre 2017 L’employé de l'ACF visé par les accusations d'agression réclame des excuses
12 décembre Politique Bilinguisme des juges à la Cour suprême Le cri de Romeo Saganash sera-t-il entendu ? La francophonie a protesté suivant la défaite écrasante, le 26 octobre, du projet C-203 du député...
La FCFA demande 575 millions $ de plus sur cinq ans La FCFA a publié ses attentes minimales concernant le financement du prochain Plan d'action.
Le numérique, planche de salut des périodiques franco-canadiens ? Un nouveau magazine francophone en milieu minoritaire a vu le jour au Manitoba avec le lancement de la revue Nénuphar et de la revue littéraire en...
Fermeture de CKRP en Alberta Un total de 9 radios communautaires sur 25 en péril François Côté est navré : « C’est difficile à Gravelbourg (Saskatchewan), à...
AGA des Éditions de la nouvelle plume Une maison d’édition en plein essor La seule maison d’édition francophone à l’Ouest de Winnipeg a dressé un bilan positif de l’année...
18 juin 2019 FAJEF 20184 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer