7 décembre En quelques mots Pour les 7 à 77 ans et tous les autres Ce que j'ai reçu de plus beau en cadeau lorsque j’étais jeune, ce sont des livres. Et en particulier des bandes...
Charte de la presse écrite « La structure idéale permettrait d’éliminer l’ingérence » L'Association de la presse francophone a développé une Charte de la presse écrite afin d'aider ses journaux en milieu...
D’où viennent les plantes décoratives du temps des Fêtes ? D’où viennent les plantes décoratives du temps des Fêtes ? Notre chroniqueuse Mélanie Jean y répond!
Deux enseignantes de la Saskatchewan reçoivent le Prix d’histoire du Gouverneur général pour l’excellence en enseignement Le 22 novembre 2017, à Rideau Hall, les enseignantes saskatchewannaises Naomi Fortier-Fréçon et Leia Laing ont reçu le...
Une nouvelle citoyenne canadienne Le mercredi 8 novembre dernier, notre amie Angeline Feumba est devenue citoyenne canadienne.
10 septembre 2015 Sébastien Németh 21677 2015, Éditorial, Bénévolat Plus le temps Réflexion sur le bénévolat Nous n’avons plus le temps de rien. Plus le temps de mobiliser son énergie pour organiser notre évènement communautaire. Plus le temps de passer des heures en réunion pour faire germer les contours du projet. Plus le temps de rester devant l’ordinateur, à se gratter le cuir chevelu pour écrire la demande de subvention. Plus le temps de remplir les fichiers informatiques, calculette à la main, pour évaluer son budget. Plus le temps pour surveiller fébrilement le compte en banque et vérifier l’arrivée de l’argent. Si un évènement a lieu, nous n’avons plus le temps de battre le rappel pour que les autres viennent aider à préparer la salle. Plus le temps d’installer les tables, les chaises. Plus le temps d’aller au supermarché acheter la bouffe pour 250 personnes affamées. Plus le temps de s’installer en cuisine pour émincer, découper, éplucher, trancher, saupoudrer…bref…pour préparer quelque chose et nourrir les visiteurs. Plus le temps d’enfiler un tablier et d’empoigner une louche pour servir les spectateurs. Plus le temps de passer la soirée, l’oreille collée au combiné téléphonique pour réclamer des dons. Plus le temps d’enfiler un T-shirt fluo pour renseigner et guider les gens (avec le sourire). Plus le temps de rester jusqu’à 2 h du matin pour ranger, nettoyer, éponger et laver la salle. Plus le temps de s’engager dans un conseil d’administration. Plus le temps d’examiner des finances abstraites qui diminuent comme peau de chagrin. Plus le temps d’orienter des décisions stratégiques. Plus le temps de concilier bénévolat, travail, loisir et vie de famille. Et si le bénévolat, le soutien à son groupe, c’était tout ça à la fois? Et si la communauté c’était le travail et le loisir? Et si la communauté c’était une famille? La communauté c’est nous. Nous sommes la communauté. Lui consacrer du temps, c’est se donner du temps à soi. Partager Imprimer