26 octobre Francophonie Élections de l’Assemblée communautaire fransaskoise Rencontre avec les candidats à la présidence de l'ACF REGINA - La communauté fransaskoise est appelée aux urnes, le 1er novembre prochain, afin de choisir les prochains élus de...
L’histoire du pays est autrement plus compliquée qu’on ne le croit La tournée nationale du spectacle Le Canada, c’est complexe était de passage à Moose Jaw le 21 octobre et à...
Défis d’hier et d’aujourd’hui de l’Assemblée communautaire fransaskoise REGINA - Être à la tête de l’ACF est loin d’être de tout repos. Le prochain président de...
Députés communautaires Rencontres avec les candidats de Regina et Saskatoon REGINA - À quelques jours des élections à l’Assemblée communautaire fransaskoise, l’Association canadienne-française de Regina (ACFR)...
Francine Proulx-Kenzle reçoit la Médaille du souverain Le 9 novembre 2017, Francine Proulx-Kenzle recevra la Médaille du souverain pour les bénévoles pour sa contribution et son...
18 juin 2019 FAJEF 20184 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer