25 octobre Tabou No More - Réflexions sur la santé mentale Une diversité qui nous unit… pour un mieux-être dans notre communauté Vivre dans une communauté éclectique et vivante telle que la communauté fransaskoise est un vrai privilège!
Retour sur le voyage de Don Peterson Un Saskatchewannais poursuit sa course autour du monde Le périple de Don Peterson en voilier autour du monde a exigé une intervention de la marine portugaise suite à une urgence...
Douzième édition des Journées du Patrimoine de la SHS Les cultures francophone et métisse célébrées à Batoche Cette année, la culture métisse était à l’honneur des Journées du Patrimoine qui se sont déroulées au lieu historique national de Batoche,...
Caravane de Vocalités vivantes: quand les mots voyagent Après avoir sillonné les routes canadiennes des Maritimes aux Prairies, la caravane de Vocalités vivantes a effectué...
Catalogne : et maintenant on fait quoi? Le 1er octobre 2017, les Catalans ont été appelés à se prononcer par voie de référendum sur l’avenir de la Catalogne.
18 juin 2019 FAJEF 20184 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer