16 septembre Aventure et plein air Ghostown Blues : où le passé est présent Contradictions. Ce mot définit bien Ghostown Blues et son propriétaire Greg Hisey.
Slate Fine Art Gallery présente 'Til the Cows Come Home Joe Fafard: rétrospective et renouveau REGINA - Les vaches ne sont pas tout à fait prêtes à rentrer à l’étable. Elles ont plutôt mis leurs...
Rencontre formative d'artistes francophones à Banff Entr'arts: une expérience au-delà de l’art BANFF - 20 artistes ont participé à la sixième édition d'Entr'ARTS à Banff Centre, du 29 août au 5 septembre.
Aide financière disponible pour les familles à faible revenu Les services de prématernelle fransaskois seront facturés REGINA - Le Conseil des écoles fransaskoises a décidé de maintenir sa décision de facturer la prématernelle...
Rentrée scolaire 2017 Casse-tête dans trois écoles fransaskoises La rentrée scolaire est bel et bien amorcée en Saskatchewan. Toutefois, le Conseil des écoles fransaskoises doit composer...
18 juin 2019 FAJEF 20178 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer