17 août Chronique juridique Un guide pour les aînés Le guide révisé « Améliorer la sécurité et la dignité des aînés - Moi je...
L’anglais gagne du terrain au Québec Bilinguisme dans les provinces : dernière place pour la Saskatchewan Le taux de bilinguisme a atteint un nouveau sommet au Canada, passant de 17,5 à 18 pour cent à l'échelle nationale entre 2011...
Nommée gouverneure générale: Julie Payette prête pour la "grande aventure" La Québécoise âgée de 53 ans a tenu à exprimer sa "sincère gratitude" à Justin trudeau ainsi...
Festival de Petite vallée: Prix du public pour Étienne Fletcher L'artiste fransaskois Étienne Fletcher a remporté le Prix du public Hydro Québec lors de l'édition 2017 du Festival en...
Reesor Ranch : découvrir le Far West dans la langue de Molière Récipiendaires de multiples prix touristiques, les Reesor opèrent un ranch où vous pouvez faire de l’équitation,...
18 juin 2019 FAJEF 20153 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer