29 août Politique Brad Wall : l’heure du bilan Suite à l’annonce de la démission de Brad Wall, l’heure est au bilan. Que peut-on retenir de ses dix ans à la...
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Rencontre avec Don Peterson de Maple Creek Le Tour du monde en 343 jours Originaire de Maple Creek, Don Peterson se prépare pour une course à l’échelle de la planète.
Byrun représentera la province au Chant'Ouest 2017 Nouvelle Scène 2017: une bonne cuvée REGINA - Le Conseil culturel fransaskois (CCF) a réuni sur scène le 3 août dernier quatre participants pour la 28e...
RIF-SK : Une nouvelle équipe en place REGINA - La nouvelle équipe du Réseau en immigration de la Saskatchewan (RIF-SK), coordonnée par Marie Galophe, est...
18 juin 2019 FAJEF 20153 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer