5 juillet Communautaire Un député communautaire dénonce la direction de l’organisme porte-parole... Patrice N'Gouandi réclame la démission de la présidente et directeur de l'ACF REGINA - Le député communautaire de Saskatoon Patrice N’Gouandi a demandé la démission de la...
Les Elles du Canada français 150 femmes pour les 150 ans de la Confédération Dès le 1er juillet, la blogueuse Jeannine OUellet publiera au quotidien le profil de 150 femmes qui ont marqué...
Immigration économique: un parcours semé d’embûches Le Canada est souvent perçu comme un Eldorado économique par les nouveaux arrivants francophones.
Le drapeau du Traité no 4 hissé à l’école Sacred Heart Community School REGINA - Le drapeau du Traité 4 s’est élevé à l’école Sacred Heart Community School de Regina, le 6...
Aboutissement de deux ans d’efforts et de mobilisation Un nouveau terrain de jeu pour l'École canadienne-française de Saskatoon Le nouveau terrain de jeu du pavillon élémentaire de l’École canadienne-française de Saskatoon a...
18 juin 2019 FAJEF 20153 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer