13 juin Autochtones / Métis Pierrot Ross-Tremblay se penche sur l'oubli culturel chez les Premiers Peuples Réflexions d'un intellectuel innu sur la condition autochtone En poste depuis 2014, Pierrot Ross-Tremblay est directeur du département de sociologie et professeur à l’Université...
Lancement officiel de la revue littéraire francophone des Prairies À ciel ouvert prend son envol SASKATOON - Le jeudi 25 mai 2017, le premier numéro de la revue littéraire en ligne À ciel ouvert a été...
Témoignage émouvant au Forum Santé 2017 Vivre avec un enfant différent SASKATOON - Les parents aiment raconter la vie de leurs enfants. Mais qu’en est-il de ces familles qui ont des enfants...
Quand le bilinguisme devient une synergie communautaire Soirée en français du Performers Café de Moose Jaw MOOSE JAW - Le 25 mai dernier, une nouvelle édition du Performers Café s'est tenu à Moose Jaw.
Soirée Paroles et musique : Hommage aux bénévoles REGINA - Le comité organisateur du pavillon francophone a organisé la soirée pour remercier les bénévoles...
18 juin 2019 FAJEF 20153 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer