28 septembre Sport Quand le sport se fait rassembleur Première édition du tournoi fransaskois de soccer des nations REGINA - Le premier Tournoi fransaskois de soccer des nations, organisé par l'Assemblée communautaire fransaskoise et l'Association...
Arrière scène : Rencontre avec Anne Brochu REGINA - Rencontre avec Anne Brochu dans les studios de production du Sound-Stage.
Table des élus: les écoles fransaskoises au cœur des discussions SASKATOON- Les présidences des organismes fransaskois ont eu une journée productive où plusieurs enjeux de la...
Centre de la francophonie des Amériques : De zéro à 40 000 membres en dix ans Le Centre de la francophonie des Amériques compte désormais 40 000 membres depuis sa création il y a dix ans.
Conférence de Serge Bouchard Transmettre sa langue : Aimer pour parler L’histoire d’un « amour intégral », racontée par Serge Bouchard à travers 50 ans...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5312 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer